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Bienvenue à vous tous, qui cherchez la voie.

Extrait du message reçu à Jérusalem 19 avril 2011 Louise

 

Oh Homme ! quand comprendras-tu que toi seul peux te sauver, je t’ai donné le libre arbitre, de ce fait, le droit de penser et d’agir par toi-même, tu es le seul animal de ma création à avoir reçu ce don, et qu’en fais-tu ? A part rendre esclave ton prochain, n’ai-je pas dit « aimez-vous les uns les autres, » n’ai-je pas dit que vous êtes les enfants issus d’un même père ?

 

Extrait du message reçu à Nazareth 22 avril 2011 Louise

 

Par la miséricorde que tu nous accordes, toi le Seigneur des Seigneurs, nous te demandons humblement la grâce de nous pardonner nos pêchés, par ta divine grâce accorde nous humblement la délivrance, pour que nous puissions te rejoindre dans l’éternelle Jérusalem céleste.

 

 

SAN PIO DE PIETRELCINA

DU 17 AU 23 SEPTEMBRE 2017 :   PRIX 690€

 "Attention le prix change en fonction du billet d'avion : faites vite"

 " Le visage du Père, ne ressemble à aucune des photos de lui en circulation. C'est lui-- son froc, sa barbe, ses yeux noirs-- et pourtant ce n'est pas lui--Peut-être parce qu'aucune photo ne peut rendre la spiritualité, la majesté et la douceur de son visage. Il y a également les transformations que ce visage subit. Parfois, il semble creusé, étroit, malade ; parfois, il est ouvert, grand, la physionomie imposante, comme certaines figures de fresques. Parfois émane de lui une légère luminosité. Je ne crois pas avoir eu des illusions puisqu'un faite de ce genre est confirmé par des dizains de personnes. Vu dans l'ombre, son visage tranche sur tout ceux qui l'entourent, par une sorte d'étrange lumière  qui produit sur qui le remarque une profonde impression"...(Extrait du livre : L'homme qui frappe à la porte de Dieu. Fernanda Bianco)

Le 17 SEPTEMBRE : Départ  aéroport Nice décollage 7 h, arrivée à Naples 8 h 25.

                                   

    11 h :  Morcone visite du premier couvent où Padre Pio fit son noviciat : le 6 janvier 1903, Francesco Forgione frappe à la porte du couvent des Capucins, c'est le capucin quêteur, Fra Camillo qui lui ouvre la porte. (Les Capucins   ont pris possession de ce lieu le 17 mai 1603, en y plantant une croix). afin de commencer son noviciat, première étape de la vie religieuse. Il prit le nom de Fra (frère) Pio. À la fin de l'année de noviciat le 6 janvier 1904, Fra Pio prononce c'est premier vœux religieux. Il prononce ses vœux perpétuels le 27 janvier 1907,"à la seul fin de tendre au bien de mon âme et de me consacrer totalement à Dieu".

Fra Pio fut ordonné diacre dans la chapelle de Morcone le 18 juillet 1909.

REPAS MIDI Pietrelccina

"Les plaies de Padre Pio n'ont pas une origine terrestre. Les médecins qui sont allés vers lui  ont rangé dans leur trousse les appareils compliqués et ils se sont mis à le considérer avec stupeur et vénération. Leur rationalisme était en déroute. Il ne rester que la foi, devant elle, ils se sont inclinés, acceptant de "ne pas comprendre" ce qu'ils ne pouvaient traduire en formules rationnelles.

Le professeur Festa devint un fervent dévot de Padre Pio, et il  resta son fidèle ami jusqu'à la mort. Ce médecin rappelle, dans un de ses livres , l'opération à laquelle il dut soumettre le Frère, souffrant d'une volumineuse hernie inguinale. La salle d'opération fut une cellule blanchie à la chaux. Le Père ne voulut pas être anesthésié. L'intervention dura une heure trois quarts; le pauvre Père supporta héroïquement la torture que les bistouris provoquaient dans sa chair. Uns fois seulement, les larmes coulèrent sur son visage, et les lèvres tremblantes prononcèrent une invocation : "Jésus, pardonne-moi, si je ne sais pas souffrir comme je le devrais..." (Torture facilement évitable; mais le docteur Festa refusa de promettre de ne pas profiter de l'inconscience du Père pour examiner à nouveau la plaie du cœur, examens interdits par Rome à l'époque). (Extrait de l'homme qui frappe à la porte de Dieu 1960).

  "Pietrelcina est un petit pays accroché à la roche. Dans sa partie la plus ancienne, il possède une rue minuscule, toute rocailleuse : les maisons en sont petites, pauvres et lézardées. Tout est construit comme une étable rustique, en vieilles pierres, blanchies au soleil ; on perçoit des odeurs déplaisantes de déchets qui fermentent à la Chaleur.

Nous fûmes immédiatement entourées par un groupe d'enfants beaux et sales dont les pieds nus se moquaient des aspérités du sol défoncé. Une toute petite fille, entortillée dans un bout de robe encore trop grand pour elle, vint vers moi, toucha mon vêtement et fut heureuse quand je pris sa menotte sale dans la mienne.Elle savait déjà que nous étions là pour voir la maison de Padre Pio. Assurément, les étrangers qui arrivent à Pietrelcina viennent-ils surtout pour cela.

Zio Michele sortit de grosse clés de fer et ouvrit une porte qui semblait close depuis des siècles, car elle était recouverte de toile d'araignées grises et poussiéreuses. " Nous habitions là, étant enfants", dit-il. Je fut saisie. Les chambres étaient absurdement petites. Il n'y avait plus de mobilier, si ce n'est quelques objets d'usage courant. Mais il était difficile d'imaginer qu'une famille de sept personnes pût se mouvoir là-dedans et y faire tenir les meublent indispensables... Dans cette désolations, Padre Pio était né.Au rez-de-chaussér, parmi les bonbonnes, les seaux et les coffrets, on aperçoit une espèce d'armoire. Zio Michele m'expliqua que c'était "l'arcane", c'est à dire le coffre où les paysans entassent le grain qu'on utilisera l'hiver.

Il me raconte un des premiers miracles du Père, miracle auquel toute la famille assista.Il dit qu'une fois l'"raconte" s'était trouvé complètement vide. Il n'y avait rien à manger. Un des fils monta, regarda dans le meuble et confirma que, malheureusement, il ne contenait plus rien. Padre PIO, qui était alors un enfant, fut le seul à rester calme. "Ayez confiance, dit-il, le Seigneur ne laisse personne mourir de faim. C'est faux qu'il n'y ait plus de grain". Quelqu'un, comme pour lui faire reconnaître qu'il se trompait, souleva la petite porte du bas, par où le grain s'écoulait pour être recueilli dans un récipient. Le grain commença à sortir abondamment, à l'ébahissemnt de tous. "L'arcone", par miracle, était plein jusqu'aux bords.

Cet épisode m'a été raconté personnellement par Zio Michele, qui l'a vu de ses propres yeux. Il est évident qu'il est, lui, le premier à croire à la sainteté de son frère, parce qu'il connait par expérience trop de faits qui le concernent". (Extrait de l'homme qui frappe à la porte de Dieu)

       Visite du village natale de Padre Pio : il y vécu de 1887 à 1903. Il y retourne, envoyé par ses supérieurs, pour raison de santé, le séjour, doit durer quelques semaines, il y reste 1909 à 1916. Il écrit en 1926 "Je la porte dans mon cœur".

 

     - 26 mai 1887 :    Il est baptisé dans la petite église Sainte Anne, on lui donne le prénom de Francesco par dévotion à saint François d'Assise.  l'église où il célébra sa première messe le 14 août 1910.                                                                         

   

    - Église Santa Maria degli angeli : Paroisse de Pietrelcina c'est dans cette église que le diacre Fra Pio célèbre son premier baptême, assisté du curé, l’archiprêtre Salavatore Pannullo, qui fut le confident des visions, prodiges et assauts diaboliques entre 1909 et 1916. ; là se trouve Notre-Dame de la Libera, statue miraculeuse de la ville, pour laquelle Padre Pio avait une grande dévotion.  

 

    - L’Église de l'actuel couvent des Capucins : est dédiée à la Sainte Famille, nom choisi par Padre Pio lui-même ; elle a été commencée en 1926. En 1909, selon un témoin, alors séminariste, au cours d’une promenade, Fra Pio s’arrêta en ce lieu alors désert, l’invita à se taire et à écouter le chœur des anges qu’il entendait, non loin.

    - La maison natale et les différents lieux, qu'il occupe pendant sa convalescence et ses études.

    - Le chemin de croix : Chemin que Francesco emprunte pendant son enfance et lors de ses séjours à Pietrelcina. Nous aussi nous allons suivre ses pas jusqu'à PIANA ROMANA.

   

    - L'église de Piana Romana où le chemin de Croix est un chemin de Lumière.

     

      En dehors de Pietrelcina,  la famille de Padre Pio possède des terres, entourant une habitation.

C’est là qu'il garde le petit troupeau familial, ce qui lui assure des heures de solitude, de silence et de prière. 

C’est là aussi, en 1902, qu’il fait la connaissance d’un jeune capucin quêteur, Fra Camillo de Sant’Elia a Pianisi. Fasciné par cette figure humble, il déclare que plus tard il serait moine, « avec la barbe », comme Fra Camillo.

Enfin, c’est à Piana Romana qu’il reçoit pour la première fois les stigmates, le 7 septembre 1910. Un an plus tard, il en fait le récit au Père Benedetto :

« Il m’ est arrivé hier soir un fait que je ne saurais ni expliquer ni comprendre. Au milieu de la paume des mains m’est apparue une petite rougeur, à peu près de la forme et de la dimension d’une pièce d’un centime, accompagnée d’une douleur forte au milieu. Cette douleur était plus sensible au milieu de la main gauche, à tel point qu’elle dure encore. Sous les pieds aussi je ressens un peu de douleur. Voilà presque un an que ce phénomène se répète… »

(lettre du 8 septembre 1911)

 

  Padre Pio prie pour que cela disparaisse. Il est exaucé jusqu’au 20 septembre 1918, où les stigmates apparaissent définitivement.

Nuit à BENEVENTO : Padre PIO n' a jamais vécu à Benevento, mais c'est à la cathédrale, dans la chapelle des chanoines, qu'il est ordonné prêtre le 10 août 1910. Sur le dos de son image d'ordination, il a fait inscrire la prière suivante : Jésus,mon souffle et ma vie, aujourd'hui, en tremblant, je vous élève dans un mystère d'amour. Qu'avec vous, je sois, pour le reste du monde, Voie, Vérité et Vie et, par vous, prêtre saint, victime parfaite.

 18 SEPTEMBRE :  Départ 9h pour le Mont San Angelo : visite du Gargano Basilique de Saint Michel Sur la façade est écrit : "Ce lieu est terrible. C'est la Maison de Dieu et la Porte du Ciel." Grotte de Saint Michel L'Archange saint Michel est apparu dans la grotte du Monte Gargano au Vème siècle, dans les Pouilles. "Je suis l'archange Michel et je suis toujours en présence de Dieu. La caverne est sacrée. C'est mon choix. J'en suis le gardien. Là, les péchés des hommes peuvent être pardonnés. Ce qui y sera demandé par la prière sera exaucé. Va donc sur la montagne et consacre cette grotte au culte chrétien."

 La Basilique Céleste

                 "Ce Lieu est terrible.

C'est la Maison de Dieu et la Porte du Ciel.

   Monte Sant'Angelo, siège du Parc National du Gargano, est connu pour le sanctuaire de l' Archange Saint Michel (inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO), étant une destination des pèlerins chrétiens depuis le VIe siècle. 

La ville a été fondée autour de l'an 1000, mais l'histoire du Monte Sant'Angelo remonte au moins au VIe. 
La légende raconte que l'archange Saint-Michel serait apparu à l’évêque Siponto en 490 lui ordonnant de consacrer la grotte. Cette dernière ayant auparavant été le lieu d'une déconvenue d'un riche berger qui y retrouva un de ses taureaux qui s'y était égaré. Mais il ne put l'en déloger, tira une flèche vers le taureau qui sans explication revint vers lui et le blessa.

 

   Au septième siècle, les Lombards firent de la grotte un sanctuaire national, et beaucoup de pèlerins s'y rendirent par la Via Francesca. Au Xe siècle, le site devint une étape des Croisés partant en Terre Sainte.
C'est vers la fin du XIe siècle qu'un centre urbain fut établi, par Henry, fils de Robert, comte normand de Lucera, dont le domaine comprenait l'ensemble du Gargano.

 

   De nombreux saints s'y rendirent : Saint Bernard, Saint Guillaume de Verceil, Saint Thomas d'Aquin, Sainte Catherine de Sienne, Saint François d'Assise, Sainte Brigitte de Suède avec sa fille Sainte Catherine de Suède.
Le 3 Juillet 1917, Padre Pio de Pietrelcina s'y rendit aussi.

   Le Sanctuaire de l'Archange Saint Michel (inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO), a été construit au XIIIe siècle par Charles Ier d'Anjou. 
Les portes de bronze du portail datent de 1076, et dépeint des scènes de l'Ancien et du Nouveau Testament. 
On y trouve l'accès à la grotte des apparitions. Un autel et une statue représentant l'archange ont été créés par Andrea 

 Sansovino. L'autel de la Vierge Marie date du XI-XIIe siècle. De nos jours, le sanctuaire est gardé par les pères Michaélites.

Nuit à San Giovanni rotondo

Le 19 SEPTEMBRE : VISITE DE SAN GIOVANNI ROTONDO :

        Le couvent des capucins  Les frères capucins sont arrivés à San Giovanni Rotondo pour diffuser l'Évangile selon la règle de Saint François en 1540. Il plantèrent une croix comme premier signe de leur présence, croix qui est toujours visible sur le parvis du Sanctuaire et de là commença la construction du couvent et  l'ancienne petite Église. C'est là que  vécu le Saint du Gargano du 28 juillet 1916 au 23 septembre 1968. La cellule N° 1 qu'il occupa de 1943 à 1968, 

 la cellule de l'intervention chirurgicale, la salle de Saint François, la salle de classable dortoir des séminariste. la crèche permanente : (C'est en effet François d'Assise qui créa la première crèche. Voici donc cette belle histoire... Nous sommes en 1223 et François se trouvait à Greccio, une ville de l'Italie. Il dit à l'un de ses amis, qui avait mis à la disposition des frères une grotte dans la montagne : "Je veux célébrer Noël avec toi, cette année, dans la grotte. Tu y installeras une mangeoire pleine de foin. Fais venir un bœuf et un âne. Il faut que cela ressemble à la crèche où est né Jésus". Et tous les habitants de la ville vinrent entourer les frères et assister à la Messe de Minuit. Ils étaient si nombreux, avec leurs cierges et leurs lanternes, que le bois était éclairé comme en plein jour. La Messe fut dite au-dessus de la mangeoire qui servait d'autel. La légende raconte que tout à coup, l'ami de saint François vit un petit enfant étendu dans la mangeoire. Il avait l'air endormi...Et François s'approcha, prit l'enfant tendrement dans ses bras. Puis le petit bébé s'éveilla, sourit à François, caressa ses joues et saisit sa barbe dans ses petites mains ! Et cet ami comprit que Jésus avait semblé endormi dans le cœur des humains et que c'est François qui l'avait réveillé par sa parole et par ses exemples. François, qui assistait le prêtre à l'autel en qualité de diacre, parla si bien à la foule de la naissance de Jésus et de ce que veut dire Noël que tous furent remplis d'une grande joie. L'année suivante, les habitants de Greccio avaient raconté avec tant d'admiration les merveilles de cette belle nuit de Noël que, un peu partout, on se mit à reconstituer, dans des grottes ou des étables, la scène touchante de la naissance de Jésus. Et c'est pourquoi maintenant, nous avons partout des crèches à Noël; on dit même que le mot vient du nom de la ville de Greccio).

 

       L'église Notre Dame des Grâces qui fut consacré  le 5 juillet 1676. Le vieux sanctuaire a accueilli, jusqu'à la réalisation du sanctuaire plus récent à côté de l'ancienne église conventuelle de Santa Maria delle Grazia, des milliers de fidèles et de pèlerins pour se confesser et assister aux messes du Padre Pio. En entrant sur la gauche, se trouve le confessionnal où Padre PIO, de 1935 jusqu'au jour de sa mort, écouta les confessions des femmes. De plus, sur le maître autel se trouve l'effigie de la Vierge des Grâces, protectrice de San Giovanni Rotondo. C'est là où il a vécu, prié, confessé et célébré la Messe pendant plus de 40 ans.

    le Crucifix du Chœur : Sur une stalle du Chœur de l'ancienne petite église devant le Crucifix en bois qui trône sur la balustrade, Padre Pio,  reçut le don des stigmates.

      Le Seigneur lui avait conféré les signes de sa passion déjà des années auparavant, à Pietreicina, mais ces signes étaient devenus invisibles, après que le vénéré Padre avait ainsi prié : "Jésus, enlève-moi cette confusion. Je veux souffrir, mourir de souffrance, mais en silence, en cachette". Depuis  le 20 septembre 1918, au contraire, le don fut visible durant cinquante ans et conféra à Padre Pio le nom de "Stigmatisé du Gargano". Ce qu'il arriva ce matin-là est témoigné, dans une lettre envoyée à son directeur spirituel, par Padre Pio lui-même. Face au Crucifix, il y a une petite fenêtre, de laquelle Padre Pio bénissait les pèlerins. 

      Le vieux sanctuaire :  A été consacré le 1er juillet 1959 et il a accueilli dans sa crypte, l'ancien tombeau où le Padre Pio à reposé 26 septembre 1968 au 3 mars 2008 pour le 40ème anniversaire de sa mort, le vatican a fait procéder à l'exhumation de son corps. Le 19 avril 2010, la Congrégation pour les causes des saints autorise la translation de son corps dans l'église inférieure San Pio. Depuis le 1er juin 2013 est renouvelée de manière permanente l'ostention du corps du saint dans une nouvelle chasse en verre dans la crypte qui accueillait son cercueil.

      Le nouveau Sanctuaire : conçu par Renzo Piano occupe une énorme structure, environ 6000 mètres carrés et il représente la deuxième église d'Italie en termes de dimensions, après le Dôme de Milan.

       La Maison du Soulagement de la Souffrance : Son Oeuvre, Son Rêve et Son Hôpital qui fut inauguré le 5 mai 1956.  Pendant la construction de l'hôpital, père Carmelo de Sessano, qui était à l'époque Supérieur du Couvent des Capucins à San Giovanni Rotondo, répéta à padre Pio que certaines personnes marmonnaient qu'il dépensait trop d'argent pour la Casa Sollievo et la considéraient trop luxueuse. Et, lui répondit tout de suite : fait " Trop luxueuse ? Si c'était possible, je la ferais en or, car le malade est Jésus et tout ce qui se fait pour le Seigneur est trop peu. C'est autre chose que du luxe". Et il continua à parler, l'Évangile à la main, de l'incarnation de Jésus dans le malade, comme dans le pauvre et tous les souffrants.

       Le chemin de croix : n'a pas été composé par padre Pio ; on n'en connaît d'ailleurs pas. Mais il est fait de textes de padre Pio, chacun suivant et commentant un texte de l'Ecriture Sainte. Les photographies sont tirées d'un ouvrage italien autour du chemin de croix qui se trouve à San Giovanni Rotondo, oeuvre de Francesco Messina. 

La Crêche (Garderie d'enfants) lieu d'un miracle : L'histoire du fait prodigieux du 3 janvier 1993, que nous attribuons à l'intercession du Servant de Dieu Padre Pio de Pietrelcina est simple et linéaire...  Je laisse les religieuse vous raconter elle même ce Miracle.

Nuit à San Giovanni Rotondo

 20 SEPTEMBRE Départ 8h30 : destination ANDRIA.

  À peu de kilomètres d’Andria sur une colline des Murges, parmi les collines, les pâturages, les oliveraies et les vignobles, on découvre le témoignage le plus important de l’architecture Souabe : Le Castel del Monte

   La perfection des formes, l’harmonie des éléments provenant de cultures différentes, le halo de mystère qui l’entoure, font de cette imposante forteresse un chef d’œuvre unique, qui lui a valu le privilège d’être déclaré Patrimoine Mondiale de l’Humanité. Ce fut le génie de Frédéric II de Souabe qui en a voulu sa construction, en suivant pas à pas et personnellement le projet dans les moindres détails. Les cathédrales et les châteaux sont les trésors de l’architecture des Pouilles. 

   Non loin, se trouve Canne della Battaglia, théâtre du célèbre combat entre l’armée Romaine et l’armée Carthaginoise, c’est un livre d’histoire en plein air qui commence de la préhistoire en passant par l’époque Romaine jusqu’au Moyen Âge. 

La Cathédrale

   La cathédrale d'Andria date du XIIème siècle. Elle renferme une célèbre relique : une épine de la Sainte Couronne du Christ qui aurait été donnée, en 1308 par la comtesse Béatrice, fille de Charles II d'Anjou, roi de Naples et de Jérusalem.
Elle abrite également les tombes de deux des épouses de l'Empereur Frédéric II de Souabe, Yolande de Brienne et Élisabeth d'Angleterre, ainsi qu'une superbe icône de la Vierge-Marie et un buste du XVè siècle de Francesco II del Balzo, Duc d'Andria, attribué à Francesco Laurana.

Le Castel del Monte

  Hors du centre habité, à quelques kilomètres d’Andria, au sommet d’une colline et dominant la partie des Murges occidentales, se trouve le Castel del Monte, édifié au XIIIè siècle par Frédéric II de Souabe. Le château symbole de la cité et de toute la région des Pouilles est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Il attire un flux important de touristes. À noter que le Castel del Monte est représenté sur la pièce d’un centime d’euro italienne.

 

Sanctuaire de Sainte-Marie des Miracles

   La découverte du site de la grotte, en 1576 et la renommée immédiate qui a suivi, a incité le duc d'Andria Fabrizio Carafa II et Mgr Luca Fieschi, de parrainer la construction d'une église et d'un couvent. 

Ils pensaient construire une église plus grande au niveau de la rue, la basilique actuelle, appelé le Sacrement. Pour ce travail impressionnant, Le duc Antonio II,  en 1617 a appelé à Andria l'architecte Cosimo Fanzago de Bergame, qui travaillait à Naples  dans l'église de SS. Severino et Sossio.

  La fresque, découverte en 1574, remonte au XIIIè siècle.  C'est une peinture d'influence byzantine.  La fresque, qui représente la Vierge et l'enfant. On a attribués des pouvoirs miraculeux à cette fresque, et ils ont construit l'ensemble du complexe de la basilique à l'endroit  même de la découverte.

   Au XVIè siècle, la plupart des cavités étaient peut-être  obstruées par des effondrements : seule l'aile sud, comme l'église de St. Margarita, était accessible, il y avait des incursions de curieux ou malveillants, et au cours de l'un de ceux qui ont eu lieu, il y eu la découverte miraculeuse de 1576.

   Saint Nicolas le Pèlerin est un Grec né en Attique, qui s’est fait moine et qui n’avait à la bouche que les mots Kyrie eleison (Seigneur, prends pitié). Considéré comme fou par tous, y compris dans son monastère, il partit comme pèlerin, passa en Italie du sud qu’il parcourut avec en main un grand crucifix en guise de bâton de pèlerin et répétant Kyrie eleison. Ascète et poursuivant sans relâche son pèlerinage et ses prédications, il mourut d’épuisement à Trani en 1094. La construction de la cathédrale de Trani a commencé en 1099, année de la canonisation de saint Nicolas le Pèlerin à qui elle est consacrée. Là à la fin du quatrième siècle ou au tout début du cinquième avait été construit un modeste lieu de culte sur lequel, à la fin du cinquième siècle, avait été bâtie une première église consacrée à Santa Maria della Scala, Sainte Marie de l’Escalier. Construite en partie sur les fondations de cette église, la cathédrale a été achevée en 1143. 

   La Cathédrale de Trani, dédiée à San Nicola Pellegrino, est un exemple d’architecture romane des Pouilles, qui unit de façon harmonieuse, les différents styles d’époques et cultures. Appelé la «Reine des cathédrales des Pouilles » elle a un portail en bronze finement décoré par Barisano da Trani, divisé en 32 panneaux représentant chacun un personnage de la Bible. Le clocher, haut de 59 mètres, construit en époques différentes, est décoré par une série de fenêtres géminées, trilobées et pentalobées terminant par une flèche octogonale. Pendant la Renaissance, beaucoup de palais aristocratiques ont été construits, parmi lesquels Palazzo Caccetta, avec sa façade en style gothique flamboyant appelé parfois abusivement gothique tardif. 

Dans une chapelle latérale, il y a l’autel de la croix décoré d’un beau crucifix.

Il y a une statue de la Vierge arborant une robe colorée bleu et vert.

 La cathédrale conserve également une momie de Sainte-Colombe! Elle est exposée avec une magnifique robe. Elle est implorée pour obtenir de la pluie et pour vaincre la cécité.

   Dans  une crypte, organisée plutôt comme une autre église, qui occupe tout l’espace sous le chœur et qui en suit les contours, avec ses trois absides. Sa largeur est de la profondeur du chœur et ses absides sont sur l’un des grands côtés, autrement dit elle est perpendiculaire au plan de la cathédrale supérieure. C’est la crypte de saint Nicolas Pèlerin qui repose sur vingt-huit colonnes de marbre grec supportant quarante-deux voûtes, c'est par la que  commenc la construction de la cathédrale, la construction de la crypte s’étant étalée sur une quarantaine d’années, de 1099 à 1142. Vaste, exceptionnellement haute et aérée, construite au niveau du sol, cette crypte est unique en son genre, et largement différente de l’autre crypte, plus basse, plus sombre, à demi enterrée, qui donne une impression plus habituelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette crypte est celle du saint, et c’est parce que l’évêque voulait y héberger les reliques de saint Nicolas, lorsqu’il a été canonisé cinq ans seulement après sa mort qu'ils ont commencé par la construction et l’aménagement de cette crypte. La statue le représente pieds nus, avec le grand crucifix qui, sa vie durant, lui a servi de bâton de pèlerin, et en bandoulière le petit sac où il transportait son unique bien.

    Église Saint Andrea où l' on vénère une Hostie sacrée, frite par méprise de notre foi..

 

    Une femme de religion non chrétienne, ne croyant pas à la vérité du Dogme Catholique de la présence réelle de Jésus dans l’Eucharistie, aidée par une de ses amies chrétiennes pendant la célébration d’une Messe, réussit à voler une Hostie consacrée. La femme, presque en défiant Dieu, mit la Particule consacrée sur le feu dans une poêle pleine d’huile. Tout à coup une grande quantité de sang jaillit de l’Hostie en inondant le sol au point de couler sous la porte d’entrée de la maison. 

   À Trani, dans les Pouilles aujourd’hui encore est conservée dans la Cathédrale dédiée à la vierge de l'assomption la relique de ce Miracle Eucharistique qui eut lieu vers l'an mille.

   On peut trouver aussi une preuve indirecte du Miracle dans une affirmation de Saint Pio da Pietrelcina qui exclama : "La ville de Trani est privilégiée, car à deux reprises elle a été baignée par le Sang du Christ."  Cela concerne le Miracle Eucharistique, et le miracle du Crucifix de colonna. Un flot de sang sortit de son nez balafré.

Nuit à Bari

21 SEPTEMBRE : Visite de Bari

    Frédérick II 

Roi de Sicile, roi de Jérusalem, roi des Romains, roi d'Italie, Saint Empereur de Rome... Frédéric II, Stupor Mundi, était un homme très occupé !

En tant que mécène pour les arts, la poésie et les sciences, il était non seulement l'un des dirigeants les plus importants du Moyen-Âge, mais également un humaniste érudit et tolérant dont la passion pour la construction nous émerveille encore aujourd'hui.

   Frédéric II légua un patrimoine architectural considérable, majoritairement réparti dans l'Italie méridionale. Partout où il passa, Frédéric laissa derrière lui des châteaux, des palais et parfois des cathédrales, dont quelques-uns des plus beaux exemplaires se trouvent dans les Pouilles.

 

 Château de Fréderick II : 

    Construit à l'origine par le roi Roger II de Sicile, le château fut presque entièrement reconstruit par Frédéric après avoir été détruit en 1156.

  une forteresse bâtie à l’instigation de Frédéric II, lui qui régnait alors sur le Saint Empire romain germanique. La construction s’amorça en 1233, sur les ruines d’une ancienne forteresse normande et sur les remparts byzantins.

Toutefois, l’aspect actuel du château est dû à Bona Sforza qui le fit agrandir au XVIe siècle. Celle-ci était la fille du duc de Milan, Jean Galéas Sforza, et d'Isabelle d'Aragon. À la mort de sa mère en 1524 elle est devenu la duchesse de Bari et c'est alors qu'elle mis en oeuvre ses projets de modification du château.

Aujourd’hui le château est un lieu d’exposition. 

 

   Basilique Saint Nicolas :

  La basilique est un symbole de la ville de Bari, dans le cœur de la vieille ville, dans une grande place, où, avant sa construction, il y avait le palais du katepanō byzantine (détruit lors d'une révolte populaire). Le bâtiment a été érigé entre 1087 et 1197 pour accueillir les reliques de saint Nicolas, volés à Myre par des marins en 1087. Sa structure est l'un des meilleurs exemples d'architecture romane.

   La basilique fut construite pour abriter les reliques de Saint-Nicolas, elles qui ont été volées dans le temple de Saint-Nicolas à Myra en Turquie, là où Nicolas a été évêque. Le vol est survenu alors que Myra venait de tomber sous la coupe des musulmans.

  Nicolas étant un saint très vénéré chez les orthodoxes, la ville de Bari attire de nombreux pèlerins du monde orthodoxe, particulièrement de Russie. D’ailleurs, une affiche indique le nom de la basilique en russe. C'est la seule église en Italie où sont célébrées tant les rites catholique qu'orthodoxe.

Mieux encore, sur la place, devant la basilique, une magnifique statue de Saint-Nicolas est un cadeau du président russe, Vladimir Poutine.

  Le vieux Bari : 

   Dès le Vè siècle avant Jésus-Christ les Grecs se sont installés à Bari. Puis la cité devient romaine du IIe siècle av. J.-C. jusqu’à la chute de l’Empire romain d’occident. Après une période byzantine, elle fut conquise par les Normands en 1071! »

« Grâce à sa position favorable sur la mer Adriatique, Bari devient rapidement une cité florissante, et ce, dès sa période romaine. C’est toutefois sous le règne de Frédéric II à la fin du XIIe siècle que la région atteint son apogée, et ce, même si par la suite les dominations angevine, aragonaise, espagnole et pour une courte période napoléonienne ont laissé des héritages culturels toujours bien vivants. »

 La Cathédrale de San Sabino de Canosa :

   La Cathédrale, dédiée à Saint Sabin, évêque de Canosa au Vè siècle, fut érigée aux environs de 1080, mais en bonne partie altérée après le tremblement de terre de 1689 et au cours des premières décennies du XIXè siècle., par l'allongement du pied de croix et la réfection de la façade. L'intérieur, en croix latine à trois nefs, est très altérée par l’adjonction du 19è siècle., correspondant aux trois premières arcades. L’ancienne église, de la première période romane des Pouilles, d'inspiration byzantine et orientale, comprend les deux dernières grandes travées des nefs, le transept et l'abside majeure. Elle a cinq coupoles ornées d’arcades, deux sur la nef centrale, une au centre de la croisée et une pour chaque bras du transept. Dans la dernière travée de la nef, à gauche, se trouve la chaire, de la première moitié du XIè siècle, œuvre du maître Acceptus, archidiacre. Au centre de l'abside circulaire se trouve la chaire épiscopale, du sculpteur Romualdo, qui la réalisa.

 

  Église Santa Anna :
      Église Sainte Anne. Sur sa construction et son origine, on n’a pas de document. Le premier document qui la mentionne, en 1196, émane de l’impératrice Constance et confirme–confirme, cela veut dire que c’était déjà le cas précédemment– la possession de l’église à l’archevêque de Bari. On peut seulement dire, d’après l’étude de la construction, qu’elle est du IIè siècle. Cette façade est d’origine, mais elle a été exhaussée en 1508 par la duchesse Isabelle d’Aragon. Un certain Stéphane (Étienne), en 1207, rapporta de Constantinople un bras de saint Matthieu destiné à l’abbesse de Sainte Scolastique. L’histoire ne dit pas pourquoi ce bras fut déposé ici à Sant’Anna avant d’être transféré à Sainte Scolastique, puisque nous avons vu tout à l’heure que la construction du couvent et de son église sont achevés depuis près de quatre-vingt-dix ans.

  

   Au début du XVIè siècle, Sainte Anne devient le centre de culte des Lombards de Bari, et c’est pour eux qu’Isabelle d’Aragon a fait rehausser la façade, réaliser ce portail Renaissance et restructurer le bâtiment. Saint Ambroise étant le patron de Milan, la capitale des Lombards, c’est ce qui justifie la dédicace de l’église à ce saint dans le nouveau portail comme le dit une inscription. Et si l’on n’a pas oublié que Bona Sforza, duchesse de Bari après sa mère Isabelle, était de la famille des ducs de Milan, on comprendra le lien particulier qui l’attachait à cette église et à cette communauté. Par testament, elle lui a laissé un don perpétuel. Dans le mur médiéval ont été conservées de nombreuses petites sculptures à la dimension d’une seule pierre. 

 Nuit à Bari

22 SEPTEMBRE : Visite d'Alberobello et ses pittoresques Trulli :

   Alberobello, petite ville de l'arrière-pays de Bari, est certainement la Capitale des Trulli : son centre historique est entièrement caractérisé par ces particulières constructions pyramidales qui la rendent unique au monde.
Selon certains chercheurs la construction des trulli remonterait à la moitié du XIVè siècle; effectivement, il était fréquent  à l’époque de détruire  et rebâtir les constructions  détériorées, au lieu de les réparer. 
La méthode de construction à sec, sans mortier, aurait été imposée aux paysans pendant le XVè siècle par les Comtes de Conversano, afin d’éviter un édit énoncé par le Règne de Naples qui imposait des tributs à chaque nouvelle implantation urbaine. Les bâtiments ainsi construits, étaient alors identifiés comme constructions précaires, faciles à démolir, et n’étaient donc pas assujettis à cette taxe. 
Dans les faits, les trulli ne sont absolument pas des structures précaires: leur structure interne compacte sans aucun élément de soutien ou de liaison, vante une capacité statique admirable.

 

   La base des trulli est approximativement circulaire: la lourde maçonnerie en chaux, se développe à partir de la roche naturelle sous-jacente. 
Généralement les trulli sont considérés comme des unités modulaires: les espaces intérieurs sont distribués autour de l'espace central. L'épaisseur des murs et la quasi-totale absence de fenêtres assurent un équilibre thermique optimal: de la chaleur en hiver et du frais en été.  
Le toit se compose d'une pseudo-coupole composée de couches calcaires horizontales positionnées selon des séries concentriques qui deviennent de plus en plus petites: les «chianche» (positionnées vers l'intérieur) et les plus fines «chiancarelle» (positionnées vers l'extérieur).  
Très importante la clef de voûte, souvent décorée avec des symboles ornementaux à caractère ésotérique, spirituel ou propitiatoire. Particulièrement ingénieuse, la présence d'une corniche penchant du toit qui servait à la canalisation des eaux pluviales dans des citernes conçues pour cette fonction.
Les trulli sont un exemple unique de construction ancienne, survécu au temps et utilisée encore de nos jours. Visiter Alberobello, c’est comme faire un voyage dans un village hors du temps. 

Eglise de Saint Antoine: bâtie en forme de trullo, précédée d'une entrée monumentale et d'une rampe d'escaliers dominée par une rosace. L'église construite sur un  plan en croix grecque, possède des chapelles latérales avec des couvertures voilées et un campanile à côté.Elle est censée avoir été édifiée pour arrêter l'avancée du prosélytisme protestant dans le quartier3.

Les dessins symboliques des trulli

 l’explication la plus rationnelle serait d’y voir des signes pour conjurer le sort, pour se prémunir des catastrophes et des épreuves. Symboles liés à la superstition de populations ne comprenant pas les phénomènes de la nature et remontant aux temps les plus reculés.

   D'après une légende, le comte Giangirolamo II régnant sur ces terres, héritier de la Maison des Acqua viva, donna asile à des malheureux qui construisirent ces maisons. Mais pour ne pas payer d'impôts au roi, il ordonna de les construire sans mortier afin de pouvoir les démonter facilement en cas d'inspection de l'envoyé royal. Pour abattre le toit pointu, il suffisait de l'entourer d'une corde et de tirer. Les habitants lassés de voir leurs habitations régulièrement détruites s'en remirent au roi pour échapper aux Acquaviva. Dès lors les trulli furent élevés avec du mortier et les murs furent chaulés. 

   Passé la partie moderne d'Alberobello, on domine en arrivant de la gare une forêt de toits pointus et l'on se dit que l'on a découvert le village des elfes et des lutins de notre enfance. Et, s'enfonçant dans les ruelles tortueuses, on s'attend à voir sortir l'un d'eux de sa drôle de maison pour vous accueillir dans cet endroit féérique. Au lieu de cela, c'est un commerçant qui vous invite à découvrir sa boutique dans l'espoir de vous vendre une confiture, un alcool local ou des orechiette, ces pâtes typiques des Pouilles.

 Après-Midi : Visite des extraordinaires grottes de Castellana. ( Avec un guide)

   Les Grottes de Castellana sont l'une des attractions les plus importantes des Pouilles et un patrimoine naturel d'une valeur inestimable pour toute l'Italie. Situées aux portes de la Vallée d’Itria, à quelques kilomètres de villages enchanteurs tels qu’Alberobello, Cisternino, Polignano a Mare, les Grottes de Castellana commencèrent à se former il y a environ 90 millions d’années. La beauté des Grottes de Castellana attire les touristes du monde entier et, depuis le jour de leur ouverture, elles ont émerveillé plus de 15 millions de visiteurs. La visite au public s’effectue sur un parcours de 3 km, une extraordinaire excursion guidée des grottes à plus de 60 mètres de profondeur dans un cadre stupéfiant de stalactites, stalagmites, concrétions aux formes incroyables, fossiles, canyons et cavernes aux noms fantastiques. Des calcifications aux formes et aux couleurs surprenantes stimulent la fantaisie des petits et des grands.

   Lors de l’exploration à une température constante d’environ 16°-18°, l’émerveillement et la stupéfaction laissent la place à la surprise, là où la nature, au cours des centaines de millions d’années où la roche a été façonnée, offre des images fantastiques : des spéléothèmes prennent forme tandis que petits et grands s’amusent à reconnaître en eux quelque chose ou quelqu’un. 

   Les Grottes de Castellana sont, pour le voyageur, une occasion à ne pas manquer pour découvrir l’une des merveilles naturelles les plus stupéfiantes de la région magnifique que sont les Pouilles.

 Nuit à Bari

23 SEPTEMBRE : Départ 7h30 POUR Naples --- Avion à 13h ---Arrivée  à Nice14 h50

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